Sled Rescue
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 Un jour, je sortirais... [Jenna ^^]

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Fruhling




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MessageSujet: Un jour, je sortirais... [Jenna ^^]   Un jour, je sortirais... [Jenna ^^] Icon_minitimeJeu 9 Avr - 21:58

Le chien à l’aspect d’un loup se coucha, penaud, en regardant les allés et venus des vendeurs. Ils étaient en retard sur la distribution de la nourriture, et s’activaient sous les aboiements mécontents des congénères de Fruhling. Lui ne bougea pas. Cette mixture liquide le dégoûtait plus qu’elle ne l’apetissait… Pourtant, chaque jour il engloutissait sa gamelle sans rechigner ; si on ne lui mettait que cette chose dans sa gamelle, c’était pour qu’il la mange, et ayant été habitué à avoir peu de chose, Fruhling se contentait de manger. Un homme trop maigre s’avança sans qu’il le voit et ouvrit la porte de sa cage. Le chien au poils gris & blanc redressa les oreille et lui donna un petit coup de museau affectueux. L’homme le caressa gentiment, avec un regard empreint de douceur. Tiens, celui-la aimait les bêtes, pas comme l’autre gros bourru qui avait cru qu’il allait le mordre et qui lui avait affligé une grosse tape sur la tête à la dernière tournée de nourriture ! Il se laissa faire sans broncher, jusqu’à ce que l’homme s’arrête pour remplir sa gamelle de cette espèce de pâtée sans goût. Après une dernière caresse, l’homme referma la porte de la cage, et partit en direction de la suivante. Fruhling croisa ses pattes avant, posa sa tête dessus, ferma les yeux et se mit à rêver…

Il rêva du passé… Son ancien maître était assit sur le canapé, la télécommande à la main. Fruhling, lui, était dehors, assit devant la porte, sur la première marche du court escalier qui séparait la porte du jardin. Il gratta à la porte, assez fort pour que son maître l’entende. Celui-ci arriva, lui ouvrit et l’invita gentiment à monter sur le canapé, comme il le faisait tout les jours. Le chien-loup se couchait sur le divan, et posait sa tête sur le jambes de son maître, pour quémander une friandise, en jouant le chien mal nourrit. Et ce train-train avait duré deux ans et cinq petits mois… Pourtant, Fruhling ne comprenait toujours pas pourquoi son maître, après avoir fait ses bagage et les avoir chargés, l’avait attaché au portail du chenil, avec un mot qu’il n’a jamais connu…

Fruhling fut réveillé en sursaut par des aboiements digne d’un sauvage. Un Doberman venait de faire son entrée, muselé, et furieux, il aboyait si fort que l’on devait l’entendre à l’autre bout de la ville. Vexé d’avoir été réveillé, Fruhling se releva et failli se cogner tellement sa cage était basse de plafond. Il retroussa ses babines, et se mit à grogner, du plus fort qu’il le pu. D’autre chiens se mêlèrent à leur « dialogue », et un concert d’aboiements & de grognements ainsi se forma. Pourtant, le seul gardien qui réagit fut celui du comptoir, un gros bonhomme aux aspects maladroits. Il frappa du poing le comptoir, et presque aussitôt le calme fut retrouvé. Seul Fruhling, les dents découvertes, continua à grogner, baissant juste le volume. Ah, encore un mal prétentieux qui voulait faire le malin ! Grrr, ceux-la, il les haïssaient ! Soudain, la sonnerie qui annonçait la venue d’un client coupa court à ses réflexions haineuses envers son camarade. Fruhling s’assit, intéressé. La porte s’ouvrit, et, à sa grande surprise, ce fut une ravissante jeune femme qui fit son entrée…

[Désolé du post minable ma puce >.<]
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Jenna Oakwood

Jenna Oakwood


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MessageSujet: Re: Un jour, je sortirais... [Jenna ^^]   Un jour, je sortirais... [Jenna ^^] Icon_minitimeJeu 9 Avr - 22:28

<< Tout le monde à le droit de vivre ... >>



    Si un jour on vous dit que vous êtes viré, vous faites quoi ? Moi, je ne sais pas ce que j'allais faire puisque je venais de me faire virer de mon job provisoire. J'étais toujours d'un maladresse impossible et je faisais toujours tomber les objets des rayons de marchandises. C'est ce qui avait énervé mon patron et sur ce fait là, je suis entièrement d'accord avec lui.Pourtant, il avait eu du mal à me séparer de moi, je conaissais tous les raysons par coeur et ... il m'aimait bien, beaucoup même. Je partis sans un regard et lui était déçus. Et bien, tant pis, qu'il aille se faire cuire un oeuf chez les grecs ! Je ne savais pas ce que je devais faire maintenant, mais je me prenais toujours à rêver de chiens, de chevaux ... De réincarnation. Je ne sais pas pourquoi en faite. J'étais là, peu fière de moi, peu sûre de moi. Je ne comprennais pas ce que je devais faire. Alors, pendant plusieurs mois, j'avais cherché des petits boulots dans le journal, j'avais fait ces boulots, pour gagner de l'argent pour payer ce que je devais à mes parents. Oui, j'avais un peu -comme qui dirais- casser leur télévision un peu exprès. Mais mes parents, je les détestaient, je ne pouvais même pas les voir en peinture, c'est vous dire. Et puis, un jour, je suis tombée sur une sorte de centre, ou l'on pouvait adopter des chiens, les dressers, devenir des amis pour eux et sauver des vies. J'avais longtemps étudié à fond la spécialité Neige, car je la préfèrais aux autres. J'avais peur de l'eau -même si je savais nager- et les éboulements n'étaient pas mes préférées. J'assume. Plus tard, je me trouve assez grande et n'ayant pas finis de payer mes parents -ce dont je n'en ai rien à faire-, je pars pour ce centre. Pour finir, j'arrive ici.

    J'avais entendu parlé de chiens dans un chenil pour ceux qui n'avaient pas de chiens à eux. Comme je n'en avais pas à moi, j'ai décider d'aller faire un petit tour. J'avais aussi trouvé ma maison ou j'avais deux autres colocataire. Un garçon ; Lucas et une fille dont j'avais oublié le nom. Quand j'étais passée par là, il n'y avait personne, ils devaient être sortit. Il y avait beaucoup de beau paysages ici. La chambre était belle, comme tout ici d'ailleurs. Je m'étais rapidement changée pour abordé un t-shirt sans manche noir et un jeans un peu large très clair. Mes cheveux cours noirs étaient libre x). Des 'converses' pour chaussures et j'étais partie. Il avait fallu que je suive un plan pour comprendre ou était le chenil que j'avais finis par trouver une heure plus tard. J'étais drôlement calme et zen à l'idée de voir des chiens dans des cages mais l'idée de voir leur regard me faisant pitié me stressa soudain. Fermant les yeux quelques petites secondes, je finissais de me convaincre avant d'entrer dans le Chenil. Le bruit des aboyement me vint aux oreilles.

    Ce que je voyais me fis mal au coeur. Très mal au coeur car j'avais pitié d'eux. Le seul gardien qui était là était un vieux grincheux qui râlait après les chiens car ils venaient d'aboyer. Le silence était maintenant totale, moi qui venait d'entrer dans cette prison pour chien. Puis, ça recommença, les aboyement reprirent leur cours et mes oreilles n'en finissaient plus d'avoir mal. Je mis un instant ma main sur ma tête puis j'envisagea de me promener parmi les allées. C'est ce que je fis. Ils étaient tous comme je l'avais imaginé, tous aussi beau, certains semblaient être des batards tellement on leur avait tapé dessus. D'autre ne mangeaient pas ce qu'ils avaient dans leur gamelle. D'ailleurs, je les comprendraient car leur "bouffe" n'était pas des plus apétissantes ... Quand je tombais sur un beau chien, je le caressais. Comment ne pas les adopter ? Alors que je marchais tranquillement, je tombais sur un magnifique chien qui avait un aspect de loup. Un aspect de liberté dans ses gênes. C'est ce qui me fis craquer. Je lu la pancarte.

    >> Fruhling ... Murmurais-je à moi-même.

    Je m'accroupis près de ce magnifique chien assis et lui tendis doucement ma main. Il avait l'air triste et curieux à la fois. Je passais doucement ma main sur ses fins poils lisses. J'avais des nic-nac dans ma poches, en voudrait-il ? Des biscuits ... Logiquement, un chien devrait aimer ça ... Je repris donc ma main pour prendre deux, trois nic-nac et je lui parlais doucement.

    >> Hey mon grand ... Tu ne mérite pas cette cage ! Avant d'apeller le seul gardien qui vint en ronchonnant. Ouvrez-moi cette cage, s'il-vous-plait !

    >> Si il vous mords, ne vous en plaignez pas, je ne suis pas resonsables ... <<

    J
    e lui lançais un regard sadique et froid puis il ouvris la cage et me laissa seule avec ce Fruhling. Je lui souriais avant de tendre ma main avec les nic-nac.

    >> Vas-y Fruhling, prend-les. Insistais-je, souriante. Peut-être est-lui que j'allais adopter ... peut-être.

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Fruhling




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MessageSujet: Re: Un jour, je sortirais... [Jenna ^^]   Un jour, je sortirais... [Jenna ^^] Icon_minitimeVen 10 Avr - 14:08

Fruhling reprit ses grognements envers le Doberman, qui venait de trouver le moyen de se battre avec la dalmatienne d’à côté, oubliant totalement la jeune femme qui venait d’entrer : de toute manière, elle ferait comme tous les autres, elle aurait pitié d’eux, elle jetterais son dévolu sur un petit chien très mignon, et elle repartirait sans, parce qu’elle aura réfléchit et qu’elle trouvera « qu’avoir un chien maintenant n’est pas une bonne idée ». Le gros vendeur derrière le comptoir se leva, de mauvaise grâce, et se dirigea à pas lourds vers les cages du nouveau venu et de la dalmatienne, pour les séparer. Il attrapa la cage du fin animal fauve et noir et la déplaça, près de l’allée où ils mettaient tous les chiens très calme, en pensant que les voir aussi sage lui mettrait du plomb dans la tête. Un instant, les aboiements s’arrêtèrent, mais reprirent aussitôt… Seul Fruhling s’arrêta de grogner. Il se coucha, toujours aussi penaud, et regarda tour à tour les chiens de son allée. Là, il y’avait de tout ! Des petits, des gros, des calmes, des molosses…

Il soupira, c’est fou ce qu’il pouvait s’ennuyer dans cette cage ! Ses seules occupations étaient les promenades, une le matin, vers neuf heures, et une le soir, aux alentours de dix-huit heures. Toujours avec la même bénévole, une jeune femme d’une vingtaines d’années, très douce et patiente. Avec elle, il savait que ces trente minutes dehors lui dégourdiraient les pattes. Là-bas, il pouvait aboyer, et n’était pas obligé de rester calme, assit ou couché, à observer les allés et retours de tous.

La jeune femme s’approcha de la cage de Fruhling, qui ne la vit que lorsqu’elle passa sa main entre les barreaux de fer, pour le caresser. Surpris, il eu un mouvement de recul, et s’assit, mais prit de confiance pour cette inconnue, il se colla à sa main, cherchant quelques caresses. A sa grande surprise, elle interpella l’homme au comptoir, qui se releva en soupirant. Ils échangèrent quelques mot, puis, l’homme ouvrit sa cage. Décidément, c’était une journée pleine de surprise pour ce pauvre Fruhling ! Il mit une timide patte dehors, prêt à re-rentrer dans sa cage quand… HAN !! Des Biscuits ! Il sortit en trombe et ne se fit pas prier longtemps pour attraper les biscuits que lui tendait la jeune humaine brune. Aussitôt le biscuit dans sa bouche, les souvenirs l’assiégèrent… Il était là, couché sur le petit mur qui séparait son jardin de celui des voisins, il somnolait, comme en tous les débuts d’après midi, quand un appel chaleureux retentissait. Il sautait du muret, et partait chercher les biscuits que son maître lui offrait, ceux qu’il aimait tant… Il engloutit les deux autres gâteaux sans attendre, une douce saveur dans la bouche.

Le chien-loup releva doucement la tête, pour plonger ses yeux bleus clairs dans les siens. Il ne prit pas son air le plus doux et malheureux, comme il l’aurait habituellement fait. Non, il la regarda comme un chien regarde une vieille et agréable connaissance qu'il retrouve. Il jeta un petit coup d’œil discret vers sa poche, mais recommença à la fixer, l’air de dire :
« Euh… T’en as pas d’autres ? »
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Jenna Oakwood

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MessageSujet: Re: Un jour, je sortirais... [Jenna ^^]   Un jour, je sortirais... [Jenna ^^] Icon_minitimeSam 11 Avr - 21:34

<< Le monde nous emmène au delà des frontières ... >>

    Le chien loup était magnifique. Je ne comprenais pas comment ses anciens maîtres avaient pu le laisser comme ça, seul. Je ne comprenais pas et aucune explication plausible ne parvenait dans mon esprit. Et si un jour par pur hasard je les croisais, je leur ferais la peau. En sentant la douce fourrure du beau chien je repensais aux souvenirs qui me submergeaient. Quand j'avais un chien, parce qu'il était mort maintenant. Il était aussi beau que Fruhling, mais c'était un Border Collie. Il était aussi affectueux que n'importe quel chien. Et je l'aimais. je l'aimais tellement que je n'avais pas vu qu'il souffrait. Il était vieux, c'était normal ... mais en même temps, j'avais 10 ans. Puis, dans la nuit, il avait hurlé à la mort. J'en avais eu peur, jusqu'à ce que mon père m'annonce qu'il mourrait. Et là, je n'avais plus hésité, j'ai couru auprès de lui, jusqu'à ce que je m'endorme sur lui. Au petit matin, il était mort et à cause de moi, dans d'atroce souffrance. Je me l'étais jamais pardonné.Mais maintenant, j'étais prête à avoir un autre chien. Prête à travailler avec lui, prête à l'aimer, prête à être attentif à lui ... Fruhling me regardait avec des yeux doux. Je compris qu'il en voulait encore et qu'il adorait les biscuits. Par chance, j'avais pris une boite de Nic-Nac x). J'ouvris donc la boite et puisais dedans avant de lui tendre ma main pleine de nic-nac. Il avait l'air d'en raffoler donc bon ...

    Quand je regardais la zone sombre, je repensais à tout ces mauvais souvenirs que j'aurais préféré oublier. C'était vraiment important pour moi, car y penser maintenant n'était pas vraiment une bonne idée ... Plus petite, je veux dire quand j'avais 16 ans, je me suis fait piégé par une bande de garçons plus âgés que moi. Ils devaient avoir dans les 20 ans et étaient 5. Cinq amis je suppose. Je ne sais plus comment j'ai réussis à m'enfuir, mais j'en avais gardé des séquelles car je n'ai pas pu m'enfuir directement. Je ne ferai pas de détails, mais c'était assez traumatisant. Depuis ce jour, je détestais être dans le noir. Rien que la peur d'être confronté à ce genre d'hommes dans le noir me mettait mal à l'aise. J'avais beaucoup de mal à me laisser approcher par un homme maintenant et c'était très con puisque je cherchais justement quelqu'un. Mais bon. Une fois cet épisode passé, je m'étais enfermée dans mes études et rien d'autre, je n'avais jamais parlé de ça à qui que se soit. J'avais peur de leur réaction, j'avais peur de ce qu'on pourrais dire ensuite et ça me mettait mal à l'aise. Mais, pour Fruhling, je ne devais pas lui faire voir que j'avais peur de cette cage, peur du noir ... C'était gamin en y repensant, avoir peur du noir mais c'était comme ça. Allez donc dire aux hommes qu'ils ne faut pas faire ça, mais ils le feront quand même ... Je regardais Fruhling avec amour, me demandant si il m'accepterait. Moi, je l'espérais de tout cœur car ce chien me plaisait déjà. Laissant Fruhling manger je le regardais avec un sourire aux lèvres. J'avais pris ma décision ; j'allais l'adopter.

    Je fis un geste brusque pour tourner ma tête vers le gardien qui riait d'un rire méchant. Je trouvais ça déplacer d'ailleurs. Ce qui m'énervais puisque je l'appelais depuis quelques minutes. Et il ne répondait pas. J'haussais la voix et le voilà qui me regarde, penaud. J'avoue ne pas avoir tout compris,là. Il me regarde, moi, le chien, moi, le chien ... Soudain, je comprends. Un petit sourire ironique se dessine sur mes lèvres. Mais je fais semblant de ne rien comprendre.

    >> Et bien quoi ? Vous venez ?
    . Quoi ? Moi ? Venir ? Oo
    >> Non, le pape --'
    Le gardien s'approche, tremblant. Je veux l'adopter.
    . D'a ... d'accord !

    La, le gardien marche vite, très vite -on pourrait croire qu'il courrait-. J'ai crus qu'il m'abandonnait à la tâche, mais il revenait avec des papiers, me disant où je devais signer et tout le bazar. Je signais partout où il me l'indiquait et je regardais de temps en temps Fruhling qui mangeait ses biscuits. Une fois signé, je pris une laisse dans mon sac. Une laisse noire que j'accrochais délicatement au collier de mon chien. En lui souriant, je lui parlais.

    >> Fruhling ? On va au parc ?



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MessageSujet: Re: Un jour, je sortirais... [Jenna ^^]   Un jour, je sortirais... [Jenna ^^] Icon_minitime

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